La supériorité (de fait) des Etats-Unis d'Amérique du Nord (au vingtième siècle, no má')
A quoi on peut être réduit pour avoir des nouvelles de ses amis, je vous jure.
Enfin bon pour faire semblant qu'il s'agit d'un vrai article, je vais dire quelques mots sur le sujet.
Au vingtième siècle, le court vingtièeme siècle selon Hobsbawm (1914-1989), les Etats-Unis ont été porteurs du projet economique, politique, militaire et culturel, le plus suffisamment cohérent et viable à court terme pour pouvoir s'imposer politiquement, militairement, culturellement, au reste du monde surtout après la fin de ce court vingtième siècle -les plus aveugles ont alors parlé de fin de l'histoire.
Evidemment le problème réside dans le dit "court terme"; ce qui me mène à défendre la thèse selon laquelle, en tirant un peu par les cheveux, le vingt-et-unième siècle sera dominé par le projet économique, politique, militaire et culturel du Vénézuela. Désolé Gman
Evidemment c'est exagéré et je passe aussitôt dit à autre chose, bien qu'il y ait un lien : la supération de la vehicularité de l'anglais par la vernicularité de l'espagnol. En fait il s'agit réciproquement aussi de vernacularité et de vehicularité mais bon vous m'excuserez le raccourci. Ce que je veux dire c'est que récemment j'ai fait l'expérience de situations qui auraient pu, voire dû donner lieu à l'usage de l'anglais à des fins de communication entre locuteurs de langues mutuellement étrangères, et qui ont dans les faits été l'occasion d'un usage disons autochtone de la langue d'ici, l'espagnol.
Le cas le plus fréquent et le moins surprenant c'est la communication entre des francophones (Shaheen, Tristan, moi) avec Moritz ou Pieter, qui sont allemands ; mais le plus drôle c'est quand l'autre jour on s'est retrouvés dans l'ancienne aubege de jeunesse de Shaheen, repaire d'anglosaxons de toutes sortes comme un étatsunien, des australiens, un britannique, un canadien, la langue dominante était l'esagnol, même quand il aurait été en théorie plus facile de communiquer en anglais. Le bain espagnol fait son effet. Toutes les phrases que je m'efforçais de commencer en anglais se concluaient par de l'espagnol, comme "también", "entonces", et tant d'autre choses, catchai, po'.
Alors la supériorité des Etats-Unis d'Amérique du Nord, elle repassera.Enfin bon pour faire semblant qu'il s'agit d'un vrai article, je vais dire quelques mots sur le sujet.
Au vingtième siècle, le court vingtièeme siècle selon Hobsbawm (1914-1989), les Etats-Unis ont été porteurs du projet economique, politique, militaire et culturel, le plus suffisamment cohérent et viable à court terme pour pouvoir s'imposer politiquement, militairement, culturellement, au reste du monde surtout après la fin de ce court vingtième siècle -les plus aveugles ont alors parlé de fin de l'histoire.
Evidemment le problème réside dans le dit "court terme"; ce qui me mène à défendre la thèse selon laquelle, en tirant un peu par les cheveux, le vingt-et-unième siècle sera dominé par le projet économique, politique, militaire et culturel du Vénézuela. Désolé Gman
Evidemment c'est exagéré et je passe aussitôt dit à autre chose, bien qu'il y ait un lien : la supération de la vehicularité de l'anglais par la vernicularité de l'espagnol. En fait il s'agit réciproquement aussi de vernacularité et de vehicularité mais bon vous m'excuserez le raccourci. Ce que je veux dire c'est que récemment j'ai fait l'expérience de situations qui auraient pu, voire dû donner lieu à l'usage de l'anglais à des fins de communication entre locuteurs de langues mutuellement étrangères, et qui ont dans les faits été l'occasion d'un usage disons autochtone de la langue d'ici, l'espagnol.
Le cas le plus fréquent et le moins surprenant c'est la communication entre des francophones (Shaheen, Tristan, moi) avec Moritz ou Pieter, qui sont allemands ; mais le plus drôle c'est quand l'autre jour on s'est retrouvés dans l'ancienne aubege de jeunesse de Shaheen, repaire d'anglosaxons de toutes sortes comme un étatsunien, des australiens, un britannique, un canadien, la langue dominante était l'esagnol, même quand il aurait été en théorie plus facile de communiquer en anglais. Le bain espagnol fait son effet. Toutes les phrases que je m'efforçais de commencer en anglais se concluaient par de l'espagnol, comme "también", "entonces", et tant d'autre choses, catchai, po'.